Les autres supports présents en bibliothèque

Modifié le 16 mai 2023

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Les concours de la FPT

Dernière mise à jour : novembre 2015

En dehors des livres, CD et DVD, les bibliothèques peuvent conserver toutes sortes de supports : des images aux livres en braille, en passant par les jeux de société, il est nécessaire d’en faire une typologie (non exhaustive).

1. Documents graphiques

Pour les documents graphiques, on parle souvent d’« images fixes », expression qui prend son sens en opposition aux « images animées » se référant aux films et autres produits culturels vidéo.

La BnF en répertorie plus d’une centaine : abécédaire, jeux pour enfants, carte de vœux, timbre-poste, papiers peints de Forney ; estampes, photographies, cartes ou plans ; diapositives

Ces collections proviennent souvent de dons ou de legs de collectionneurs.

La BnF a des départements dédiés comme le Département des cartes et plans ou le Département des Estampes et de la Photographie.

Ces collections sont particulières de par leur forme et leurs supports qui peinent à s’intégrer dans les rayons des bibliothèques. On fera une typologie succincte des documents graphiques les plus couramment présents en bibliothèque.

1.1. Estampes et photographies

1.1.1. Les collections graphiques de la BnF

A la BnF, on estime que le département des Estampes et de la Photographie est riche de quinze millions d’images : c’est la plus importante collection d’estampes et de photographies du monde. Ce département est l’héritier des multiples dons et achats depuis le XVIIe siècle.

La Bibliothèque nationale de France est également l’institution la plus riche en photographies en France. Le département Cartes et Plans possède par exemple le fonds de la Société de Géographie (fondée en 1821) composé de 90 000 photographies collectées par les voyageurs. Le département des Arts du spectacle possède des photographies de théâtre (fonds Roger Pic), et une importante collection de portraits de musiciens se trouve au département de la Musique. On en trouve aussi à la bibliothèque de l’Arsenal et la bibliothèque-musée de l’Opéra (fonds de photographies des Ballets russes).

Le Département des Estampes et de la Photographie est chargée du dépôt légal des photographies depuis 1925. Cependant de nombreux photographes ont déposé spontanément leurs images à la Bibliothèque nationale, par souci de reconnaissance : Edouard Baldus, Felix Nadar et d’autres y sont donc bien représentés.

Les collections se sont ensuite enrichies par des dons et des legs (le Touring Club de France y dépose par exemple ses archives).

Dans les années 1970, une politique volontariste d’échanges et d’acquisitions ont permis d’enrichir la collection par plus de 100 000 images de photographes contemporains.

1.1.2. Les collections graphiques en bibliothèques spécialisées

La bibliothèque de l’Institut national d’histoire de l’art (INHA) propose également à la consultation 180 000 estampes et 700 000 photographies.

La Médiathèque de l’architecture et du patrimoine est chargée de conserver, classer et communiquer les ressources documentaires de la direction de l’Architecture et du Patrimoine. On y trouve donc un fonds important d’images de monuments et de leur restauration.

La Bibliothèque du film est constituée par les collections de la Cinémathèque française et s’est enrichie de nombreux dons. Elle compte 50 000 tirages sur l’histoire du cinéma.

D’autres grands établissements conservent des fonds très riches, par exemple la bibliothèque centrale du Muséum d’histoire naturelle (images d’anatomie, zoologie, etc.), la bibliothèque de l’Ecole nationale supérieure des beaux-arts (reproductions d’œuvres), la bibliothèque de l’Observatoire de Paris, etc.

1.1.3. Les collections graphiques en bibliothèques municipales

Dans les bibliothèques territoriales, les collections d’images sont généralement liées à l’histoire locale, le plus souvent reçues en don d’une personnalité locale. Ce sont des recueils d’estampes, des négatifs, des cartes postales, etc. Il est difficile de connaître l’étendue de ces collections tant les supports sont variés. Mais on peut facilement imaginer que cela représente des millions d’images, représentatives du patrimoine local et national.

On peut citer ici quelques collections emblématiques :

  • la bibliothèque Forney (Ville de Paris) : collections d’affiches, d’imagerie industrielle ou décorative. Elle a récupéré les fonds de l’ancienne bibliothèque des arts graphiques
  • la bibliothèque historique de la Ville de Paris : histoire de Paris, important fonds photographique
  • la bibliothèque de Rouen a un fonds de plus de 60 000 estampes qui ont été microfichées.
  • la bibliothèque de l’agglomération de Montpellier conserve un fonds de plus de 15 000 estampes (héritage du fonds de François-Xavier Fabre).

On ne peut citer toutes les collections mais il s’agit de retenir que les images sont extrêmement nombreuses en bibliothèques, sous toutes formes de supports, et qu’elles sont souvent l’héritage d’un patrimoine local important, constitué au fil des dons et legs.

Pour aller plus loin :

Images et bibliothèques sous la direction de Claude Collard et Michel Melot. Paris : Ed. Du Cercle de la librairie, 2012. 978-2-7654-1001-0

1.2. Artothèques

Le concept d’artothèque (lieu organisant le prêt d’œuvres d’art) nous vient des pays du Nord au début du XXe siècle, né avec l’idée de relancer le marché de l’art contemporain.

En France, ce mouvement inspire les Maisons de la Culture de Malraux dans les années 1960 (premières artothèques au Havre en 1961 et à Grenoble en 1968). Mais le développement des artothèques en bibliothèque ne débutera réellement que dans les années 1980 : il correspond à une volonté du Ministère de la Culture d’établir une médiation plus directe entre l’art et des publics qui ne se rendraient pas facilement en musée. L’idée était également de soutenir la production artistique. Les bibliothèques proposaient alors des prêts d’œuvres sur le même principe que le prêt de livres.

Actuellement cette tendance est terminée, mais certaines bibliothèques ont conservé de riches fonds. Il en existe une cinquantaine aujourd’hui, même si la diversité des statuts ne facilite pas leur visibilité. On peut prendre en exemple l’artothèque de la MLIS (Maison du livre, de l’image et du son) à Villeurbanne : consacrée à la promotion et à la diffusion de l’art contemporain, l’artothèque propose en prêt plus de 1300 œuvres d’art de près de 600 artistes contemporains (Arman, Daniel Buren, Sophie Calle, Nan Goldin, Keith Haring, Donald Judd…). Elle propose aussi des cycles d’expositions et de performances de création contemporaine.

2. Jeux et jouets

Johan Huizinga (1872-1945) a ainsi défini le jeu : "Sous l'angle de la forme, on peut donc, en bref, définir le jeu comme une action libre, sentie comme "fictive" et située en dehors de la vie courante, capable néanmoins d'absorber totalement le joueur ; une action dénuée de tout intérêt matériel et de toute utilité ; qui s'accomplit en un temps et dans un espace expressément circonscrits, se déroule avec ordre selon des règles données, et suscite dans la vie des relations de groupes s'entourant volontiers de mystère ou accentuant par le déguisement leur étrangeté vis-à-vis du monde habituel."

La place du jeu augmente de jour en jour dans les bibliothèques en France actuellement, qu’elles soient municipales ou universitaires.

Certes le jeu a toujours eu une petite place dans les collections (L’Heure joyeuse proposait des jeux à son ouverture, en 1924) : il suffit de penser aux livres pop-up, aux livres animés, aux « livres dont vous êtes le héros » (phénomène éditorial des années 1980), etc.

Si la montée en puissance du jeu a commencé avec la prise en compte des besoins des tout-petits, c’est devenu depuis peu une notion récurrente dans le discours de démocratisation culturelle ou d’accès à la culture : on voit ainsi fleurir des collections de jeux de société et s’organiser des animations, la sectorisation entre objets ludiques et objets culturels se faisant moins vive.

Ce sont désormais des supports qui peuvent être intégrés dans les collections, empruntables et empruntés, sans toutefois avoir vocation à remplacer les ludothèques qui émaillent le territoire français.

Les modes d’accès sont variables. Par exemple, à Paris, la bibliothèque Louise Michel a été la première à développer une collection de jeux en libre-accès. A la bibliothèque de Viroflay en région parisienne, les jeux sont empruntables uniquement pendant les vacances scolaires.

Pour le moment, peu de bibliothèques ont mis en place une politique d’acquisition de jeux : la présence de ces collections en bibliothèque découle souvent de dons ou d’apports personnels par un bibliothécaire. Quelques exceptions : la bibliothèque d’Aurillac dispose de 5000 jeux et jouets, celle de Château du Loir de 2500, 1000 à Sotteville-lès-Rouen, 2000 à la ludo-médiathèque de Fosses... Ces bibliothèques pilotes sont des centres de ressources importants pour les bibliothécaires qui souhaiteraient intégrer du jeu dans leurs collections.

3. Les objets en bibliothèque

Au-delà des jeux et jouets, d’autres objets ont fait leur apparition en bibliothèque ces dernières années, en particulier depuis le développement des bibliothèques « 3e lieu ».

A la médiathèque d’Anzin, les bibliothécaires n’ont pas hésité à mettre en place un prêt de lunettes de lecture par exemple, et même de fauteuils roulants !

A l’étranger, on voit fleurir des bibliothèques innovantes dans ce domaine : aux Etats-Unis, ce sont des bibliothèques d’outils qui sont mises en place. Par exemple, à Berkeley, près de San Francisco, prête gratuitement des outils, et elle est intégrée au réseau des bibliothèques publiques1.

4. Le cas particulier du handicap

Les publics en situation de handicap sont extrêmement contraints par les supports de documents disponibles dans le commerce. Le handicap visuel nécessite en particulier une adaptation de l’offre en matière de collections.

D’après la loi du 11 février 20052 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées relative au handicap, les bibliothèques ont en effet un rôle à jouer dans la facilitation de l’accès aux produits culturels :

« Art. L. 114-3. - Sans préjudice des dispositions relatives à la prévention et au dépistage prévues notamment par le code de la santé publique, par le code de l'éducation et par le code du travail, l'Etat, les collectivités territoriales et les organismes de protection sociale mettent en œuvre des politiques de prévention, de réduction et de compensation des handicaps et les moyens nécessaires à leur réalisation qui visent à créer les conditions collectives de limitation des causes du handicap, de la prévention des handicaps se surajoutant, du développement des capacités de la personne handicapée et de la recherche de la meilleure autonomie possible.

[…] La politique de prévention du handicap comporte notamment :

j) Des actions d'amélioration du cadre de vie prenant en compte tous les environnements, produits et services destinés aux personnes handicapées et mettant en œuvre des règles de conception conçues pour s'appliquer universellement.“

Même si de gros progrès ont été faits ces dix dernières années, en particulier grâce aux actions d’acteurs comme l’Association Valentin Haüy qui œuvre en faveur des publics aveugles et malvoyants, seule une petite partie des produits culturels sont accessibles aux personnes handicapées.

Le développement des technologies numériques a cependant fait considérablement progresser cet état de fait, comme nous le verrons dans la fiche 5 de ce cours.

4.1. L’association Valentin Haüy

Créée en 1889 et reconnue d’utilité publique en 1891, l’association Valentin Haüy est un acteur majeur dans la prise en compte des besoins des populations déficientes visuelles, en particulier depuis le développement du numérique : le format Daisy, que nous décrirons plus loin, a ainsi servi de modèle pour le développement du format Epub, aujourd’hui universellement utilisé comme format pour le livre numérique.

La Médiathèque Valentin Haüy propose des livres adaptés pour les personnes aveugles ou malvoyantes ou ne pouvant plus lire du fait d’un autre handicap. Elle propose gratuitement de très nombreux titres, disponibles sur divers supports adaptés. Plus de 18 000 livres audio et 20 000 livres en braille sont disponibles sur place ou à distance.

Il est également possible de télécharger des livres audio et braille numérique sur la bibliothèque numérique Eole, après inscription à la Médiathèque.

4.2. Supports de livres

La bibliothèque de Marseille (BMVR, bibliothèque municipale à vocation régionale, de l’Alcazar) est particulièrement active en ce qui concerne le handicap en bibliothèque : au 3e étage, le département "Lire Autrement" propose un accès à la lecture adaptée aux personnes handicapées avec des collections d’ouvrages adaptés : livres et revues tactiles, en caractères gras, en braille, textes enregistrés sur cassettes ou sur CD. On y trouve aussi des matériels spécifiques : télé-agrandisseurs, machine à lire, logiciels de synthèse vocale, lecture en braille, etc.

Nous allons donc revenir sur ces différents supports présents en bibliothèque.

4.2.1. Livres en braille

Les livres en braille sont une solution intéressante, mais le braille (lecture grâce à la pulpe des deux index) reste une pratique très minoritaire (7000 braillistes seulement en France). De plus, les livres en braille sont extrêmement encombrants et donc peu pratiques à transporter. Enfin, avec la vieillesse lire en braille devient plus compliqué (perte des sensations de toucher, ou vieillissement des doigts pour les travailleurs manuels.)

Ces obstacles font que les livres en braille sont peu présents en bibliothèque.

Pour autant, le braille est la seule modalité directe d’accès à l’écrit, à la structure du texte, à l’orthographe. Il est aujourd’hui mondialement utilisé.

L’association Valentin Haüy conserve une des collections les plus importantes, avec 20 000 documents, ce qui est cependant très peu quand on considère ce qui est disponible dans le commerce classique.

Une technologie qui vise à améliorer cet état de fait est actuellement en train d’être commercialisée : le braille éphémère, qui permet grâce à un afficheur braille, de se brancher sur le flux général d’informations et d’afficher des textes directement en braille.

Pour le moment un tel afficheur reste trop onéreux (15 000 euros) ce qui limite son utilisation, mais un projet, le Transforming braille project, travaille actuellement sur le développement d’un système à 300 dollars qui permettra au public aveugle ou malvoyant d’accéder aux mêmes informations que les autres.

4.2.2. Livres audio pour personnes déficientes visuelles

Les textes lus ont l’avantage de pouvoir toucher un public plus large que le public aveugle ou malvoyant.

Mais de même que pour le braille, tous les livres ne sont pas adaptés en audio : le catalogue en France se compose de 3500 titres, dont la moitié sont des versions expurgées ou mises en scène de l’œuvre originale à laquelle accèdent les autres lecteurs. Il est difficile de trouver une version « neutre » qui laissera libre cours à l’imagination et à l’interprétation du lecteur, comme c’est le cas pour des textes écrits.

Les livres audio pour les personnes déficientes visuelles sont aujourd’hui conçus avec le format Daisy (Digital Accessible Information SYstem). Ce format est aussi utile pour des personnes empêchées de lire des documents imprimés (dyslexiques, handicapés voyants mais ayant du mal à tourner les pages d’un livre, etc.).

Ce format permet une structuration des livres pour une navigation aisée à l’intérieur du texte (par partie, chapitre, etc.). Il est possible de faire varier la vitesse de lecture, sans distorsion de la voix. Le format permet aussi de mémoriser la dernière position de lecture, ou d’obtenir des informations sur le temps écoulé, le titre de l’ouvrage, etc.

En 2014, l’association Valentin Haüy a produit plus de 1000 livres audio DAISY en voix humaine et près de 700 en voix de synthèse. D’ici cinq ans, l’objectif est de passer à une production annuelle de 3000 livres en voix humaine et 1500 en voix de synthèse. Ces livres sont disponibles à la Médiathèque ou à distance.

Elle œuvre aussi auprès des éditeurs pour obtenir rapidement les fichiers source en amont de la publication : elle a ainsi participé à l’évènement « la rentrée littéraire en Daisy » qui a permis aux lecteurs aveugles ou malvoyants de bénéficier dès leur sortie de près de 200 romans de la rentrée littéraire, dont 85 % des romans sélectionnés sur les listes de prix littéraires (dont les prix Goncourt, Renaudot, Femina).

Cette opération a été initiée au SNE par Patrick Gambache et portée par la commission numérique et contribue ainsi aux objectifs du traité de Marrakech, traité international signé en 2013 qui vise à faciliter l'accès des aveugles, des déficients visuels et des personnes ayant d'autres difficultés de lecture des textes imprimés aux œuvres publiées.

4.3. Supports avec audiodescription

Le second support destiné aux publics en situation de handicap est le film en audiodescription : cette technologie permet aux personnes aveugles de prendre connaissance d’un film grâce à la description simultanée (texte en voix OFF) de ce film. Elle est placée entre les dialogues et les éléments sonores importants pour ne pas nuire à l’œuvre originale.

L’audiodescription est apparue dans les années 1970 aux Etats-Unis et n’a cessé de se développer depuis. En 1988, le premier film en audiodescription présenté aux aveugles est Tucker de Francis Ford Coppola.

En France, une Charte établit des principes-guides pour le processus d’élaboration d’une audiodescription. C’est l’Association Valentin Haüy qui a œuvré pour son développement en France. Selon l’association, le coût moyen d’une audiodescription est estimé par certains à 7 500 euros pour 30 jours de travail. Audiodécrire un film d'une durée moyenne de 1 h 30 coûte entre 5 000 et 6 300 euros, et nécessite, en moyenne, deux semaines pour l’écriture du texte et une semaine pour la partie technique (enregistrement et mixage).

Aujourd’hui, l’AVH est le principal producteur d'audiodescriptions en France, avec un catalogue de plus de 300 films3.

Pour aller plus loin

Sur les artothèques

  • PETIT, Christelle. 2015. Une artothèque à la bibliothèque : depuis quand et pour quoi faire ?[en ligne], Lyon : Bulletin des bibliothèques de France.
  • MEYER, Céline. 2010. L'art contemporain a-t-il sa place en bibliothèque publique ? [en ligne] Bulletin des bibliothèques de France
  • Le site de l’association des artothèques en France : http://www.artotheques-adra.com/ [consulté le 10/11/2015]

Sur les jeux

  • Legendre, Françoise. 2015. Jeu et bibliothèque : pour une conjugaison fertile [en ligne]. Paris : Inspection générale des bibliothèques.
  • Stampfl, Nora S. 2014. La ludification du savoir - Les bibliothèques se transforment en espaces ludiques [en ligne], Paris : Goethe-Institut.
  • Dres, Hélène. 2010. Le jeu et la bibliothèque, un outil pour changer d'image ou un réel changement ? [en ligne], Saint-Cloud : Université Paris Ouest – Nanterre.

Sur les objets en bibliothèque

  • Rencontres du 3e lieu, des bibliothèques qui bougent en Europe, intervention d’Amandine Jaquet, ABF : http://www.lr2l.fr/rencontres-du-3eme-lieu-des-bibliotheques-qui-bougent-en-europe.html#node-4921 [consulté le 15/11/2015]

Sur le handicap en bibliothèque

  • Andissac, Marie-Noëlle et Poitevin, Marie-José (dir.). 2007. Handicap et bibliothèque, Paris : ABF.
  • Maumet, Luc. 2008. Bibliothèques et personnes handicapées. Bulletin des bibliothèques de France [en ligne], 2008, n.1, p. 98-99.
  • Le site de la Commission Accessibib de l’ABF : https://accessibibabf.wordpress.com/
  1. ^ http://bibliotheque-autour-du-monde.com/spip.php?article66
  2. ^ http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000809647
  3. ^ Source : site de l’Association Valentin Haüy - http://www.avh.asso.fr/index.php [consulté le 11/11/2015]

Auteur(s) :

COURTEL Sophie

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