Par Marc Baudino
Dernière mise à jour : novembre 2018

Introduction

La lumière a toujours occupé une grande place dans le spectacle. Qu’elle soit artificielle ou naturelle, elle a été utilisée, tout comme la peinture, pour présenter, enjoliver, créer des effets, figurer l’illusion du naturel par le travail sur les masses et les coloris. Ainsi, elle est devenue un procédé d’ « expression plastique » utilisé par de nombreux professionnels du spectacle.
Il est loin le temps où l’architecte Nicola Sabbattini1 écrivait son traité Pratique pour fabriquer scènes et machines de théâtre (1638) et où la lumière des spectacles se faisait au lustre à chandelles. Près de deux siècles plus tard (1832), le gaz est utilisé pour la totalité des éclairages scéniques. Mais le terme de « responsable des lumières » dans le spectacle ne verra le jour que sous Jean Vilar (1950). Le jeu d’orgues à mémoires apparaîtra quelques années plus tard.
Dans les années 80, avec la démocratisation de l’informatique, l’utilisation du jeu d’orgues à mémoires se généralise ainsi que la gradation des tubes fluos et l’emploi de sources puissantes. Aujourd’hui, le personnel travaillant dans le domaine de l’éclairage de spectacle doit être compétent en électricité, mais aussi en électronique. Le matériel évoluant rapidement, notamment via l’arrivée des projecteurs asservis, il devient indispensable de se former régulièrement.
Au sein des structures aussi, l’évolution est importante. Les évolutions sociétales et réglementaires influent sur les méthodes de travail et la création. Nous sommes passés d’un concept d’amateur éclairé ou d’artisan à celui de professionnel encadrant des salariés et gérant des équipements complexes.
L’éclairage d’un spectacle accompagne quasi systématiquement une mise en scène. C’est une approche artistique, dont la mise en pratique est inhérente à une maîtrise technique. Chaque spectacle ou représentation est unique.
Les métiers qui en découlent demandent beaucoup d’expérience. On n'est jamais éclairagiste, régisseur lumière ou technicien lumière en sortant d’une école. Il faut faire ses propres expériences, se confronter à toutes sortes de spectacles et à leurs exigences.

1. Circuit de la lumière

1.1. L’électricité

C’est la source d’énergie, mais c’est aussi un élément dangereux qui doit s’utiliser dans un environnement sécurisé. Elle se doit d’être manipulée par des personnels habilités et formés aux métiers d’électricien, de régisseur et de technicien lumière. Les principales règles de sécurité consistent à éviter tout contact avec les conducteurs électriques et à installer des coupe-circuits, pour protéger les personnels et les matériels.
On se doit de toujours se montrer très prudent en travaillant avec des sources électriques. Car l’électricité n’est pas visible et ne se sent pas. Les accidents qu’elle provoque sont souvent graves. Il y a deux types d’accidents physiques :

  • l’électrisation, qui n’est pas mortelle mais qui peut provoquer de graves conséquences (ex. : chutes, etc.),
  • l’électrocution, qui donne la mort par fibrillation cardiaque.

Si la section d’un câble n’est pas appropriée à sa longueur et à l’ampérage qu’il doit véhiculer, cela peut provoquer une surchauffe et risquer un départ d’incendie. Un mauvais contact peut lui générer un arc électrique, cause aussi d’incendie.
Si la protection thermique est mal évaluée, elle peut lâcher à tout moment, ou ne pas faire son office, provoquant de ce fait une mise en danger certaine de tout l’appareillage qui lui est relié (l’écrasement des câbles est lui aussi à éviter impérativement).

1.2. Installation « type »

1543853236883-298.png

Le schéma retrace les différents éléments d’une installation « type ». Le courant arrive dans l’armoire de distribution électrique (protégée par un disjoncteur différentiel
30 mA dit à haute sensibilité, qui protège les circuits des surintensités en cas de surcharge ou de court-circuit et les personnes contre les contacts indirects avec le courant) et repart aux gradateurs par des câbles d’alimentation triphasée.
Les prolongateurs reliés aux projecteurs ainsi que la liaison filaire de commande2 (DATA) venant du jeu d’orgues sont branchés sur les gradateurs.
Une liaison DATA est présente entre chaque gradateur. Par ce biais, le jeu d’orgues envoie les informations aux gradateurs afin qu’ils régulent l’intensité vers chaque circuit.
Les circuits peuvent être composés d’un ou de plusieurs projecteurs, selon les choix faits et/ou les possibilités techniques des gradateurs.

1.3. Entre lumière et scénographie, l’éclairagiste

« Il n’y a pas de règle de conception lumière. La lumière n’est pas utilitaire et ne peut pas être dissociée de l’esthétisme d’un spectacle. A chaque spectacle son pleins feux. Il n’y a pas de prescription, mais des adaptations. La création lumière est un travail de groupe, elle s’élabore avec les apports des différents créateurs (scénographes, metteurs en scène…). La lumière est le révélateur de choix artistiques et esthétiques. C’est la synthèse des choix de l’éclairagiste et des autres concepteurs ». Bernard Cathiard3.
Le travail sur la lumière crée une nouvelle perspective de conception scénique. Les nuances d’ombres sont elles aussi importantes, elles créent des connexions entre le comédien et son espace de jeu, entre l’espace et le temps.
C’est un travail fondé sur le mouvement, la couleur. Accessoire au départ, la lumière est devenue génératrice d’atmosphère, elle peut modifier l’apparence d’une scène, produire une ambiance, concevoir un relief, etc. Elle permet aussi de focaliser l’attention du spectateur.
L’éclairagiste ou concepteur lumière a donc en charge la scénographie lumière. Il travaille en coopération avec le metteur en scène et le scénographe. Il conçoit les effets permettant de créer l’atmosphère souhaitée du spectacle.
Il est polyvalent, à la fois technicien connaissant le matériel, le fonctionnement des directions de la lumière, les couleurs, les lois de l’optique et à la fois artiste en communication avec le metteur en scène. Il doit être sensible et imaginatif afin d’être capable de transcrire les éléments donnés par ce dernier.
En théâtre par exemple, dans un premier temps il va lire le texte d’une pièce, déterminer le type d’éclairage indispensable à chaque scène, puis, lors d’une réunion de travail préparatoire, après partage d’idées, de ressentis avec le metteur en scène, il fera appel à ses compétences techniques afin de reproduire l’atmosphère souhaitée par celui-ci.
Le technicien lumière et le régisseur lumière sont généralement sous l'autorité de l'éclairagiste. Ils se chargent de réaliser l'installation lumière selon les souhaits de ce dernier qui assure la conception du « plan lumière » et la mise en œuvre de tous les éclairages et effets lumineux de scène.

2. Quels outils pour la lumière ?

2.1. Le régisseur lumière

C’est le responsable du service, il organise les réglages, les implantations, la conduite lumière4 des manifestations et la maintenance du matériel.
C’est l’adjoint de l’éclairagiste lors d’une création. Il encadre une équipe d’électriciens et de techniciens lumière. Ses tâches varient selon la taille et l’organisation des structures :

  • aide à l’éclairagiste dans son travail,
  • planification du travail de l’équipe,
  • encadrement de l’équipe d’électriciens,
  • organisation des implantations lumières et des réglages,
  • enregistrement de la conduite lumière,
  • restitution de la conduite lumière pendant l’exploitation du spectacle,
  • élaboration de la fiche technique lumière,
  • accueil des compagnies invitées,
  • archivage du spectacle,
  • organisation de la maintenance du matériel,
  • régie de la maintenance de l’installation électrique du bâtiment (pour les régisseurs lumière permanents),
  • gestion des stocks de consommables (lampes, filtres, outillage servant à la maintenance des projecteurs, petites fournitures électriques, gaffeur normal et aluminium),
  • préparation des (éventuelles) tournées,
  • veille à l’application des consignes de sécurité et au port des Equipements de Protection Individuels (EPI).

Selon les situations rencontrées des outils et des accessoires lui sont utiles :

  • un voltmètre pour vérifier les branchements électriques avant une mise sous tension ou pour détecter d’éventuelles pannes,
  • une pince ampère-métrique pour vérifier l’ampérage des câbles d’alimentation ; très utile dans les cas de « compteurs temporaires »,
  • des nuanciers de filtres de couleurs, nécessaires pour choisir ses filtres et/ou pour établir une correspondance de couleur (quand celle demandée est manquante),
  • un marqueur et du scotch papier, pour le repérage sur la console,
  • le carnet des habilitations électriques,
  • une lampe frontale (les consoles n’ont pas toujours de lampe intégrée),
  • un jeu de tournevis d’électricien (isolés),
  • des rouleaux de « Barnier » (d’adhésifs électriques), attention à ne pas masquer la couleur d’un câble d’alimentation électrique,
  • du scotch aluminium (noir de préférence pour le réglage de projecteurs à vue),
  • du gaffeur noir et blanc, les pieds de projecteurs en coulisse ainsi que les nez de marche devant être signalés,
  • un cutch5,
  • un normographe,
  • des gants qui sont obligatoires pour toute manipulation.

Les nœuds : sur un plateau, maîtriser quelques nœuds est indispensable (pour assurer la descente des machines du gril6 par exemple) pour la sécurité de tous. Attention, l’utilisation du « Leatherman » est interdite en électricité (car non isolée).

2.2. La fiche technique

Le respect des fiches techniques (FT), que ce soit dans le cadre d’un accueil, d’un événement ou d’une tournée, est un point très important. Les FT sont élaborées par les différents corps techniques de l’équipe du théâtre ou de la compagnie et sont souvent synthétisées par le régisseur général.
La fiche technique répond à une demande nécessaire pour la bonne réalisation d’un spectacle. Elle précise par écrit les besoins en matériels techniques et en personnels. Elle fait foi, en cas de doute ou de litige. Elle fait le plus souvent partie intégrante du contrat.
Il existe deux grandes familles de FT, selon la place dans laquelle le spectacle est abordé :

1) La FT lumière d’un lieu d’accueil (théâtre, salle de spectacle, etc.), qui contiendra :

  • la liste, remise à jour, du matériel lumière, du nombre de circuits, fixes et « volants »,
  • la marque et le modèle du jeu d’orgues,
  • le type de gradateurs,
  • le type de commande entre gradateurs et jeu d’orgues (DMX, etc.),
  • la liste des sources et leur quantité,
  • une liste des consommables mis à disposition,
  • les accessoires divers (pieds, coupes flux, platines, etc.),
  • un plan et une coupe du site (1/50e), sur papier ou fichier DWG suivant la demande avec l’implantation des porteuses et du rideau de fer7 (les photocopies sont à éviter, elles finissent par déformer le plan qui devient inexploitable).

Elle mentionne également le contact du régisseur lumière du théâtre, la composition de l’équipe, les horaires de fonctionnement et un plan d’accès.

2) La FT lumière d’un spectacle en tournée, qui contiendra :

  • un plan d’implantation à l’échelle,
  • la puissance électrique nécessaire,
  • le nombre de circuits nécessaires,
  • la liste du matériel lumière demandé,
  • la liste des filtres et leur format,
  • les besoins en personnel technique,
  • un planning de montage, d’exploitation et de démontage,
  • la liste des porteuses et leurs équipements (le travail du cintrier8 en sera simplifié),
  • le contact de l’équipe technique,
  • toute autre spécificité importante pour la réalisation du spectacle.

Il est recommandé, après l’envoi de la FT, de contacter le lieu accueillant pour une mise au point du matériel et du planning. Le matériel du lieu aura été étudié avec soin et les demandes éventuelles de location seront discutées en amont.
Il est aussi important de faire apparaître toutes les coordonnées du régisseur et autres techniciens qui ont synthétisé les différentes demandes de la FT.

2.3. L’installation lumière (le plan)

De la fiche technique aux montages, la connaissance de la scène d’un lieu est primordiale pour une mise en pratique cohérente : conduite lumière, directions de lumière, mais aussi la draperie sont autant d’éléments à considérer pour une bonne implantation. Le plan lumière (ou plan de feu) fait partie intégrante du dossier technique et son élaboration doit être réalisée avec précision. Il doit comporter :

  • tous les projecteurs avec les numéros de filtre (nommés aussi familièrement gélatines ou « gélats »), de circuit, et le couplage des appareils,
  • les numéros de porteuses ou le plan du gril,
  • une échelle suffisamment détaillée (1/50e),
  • une légende qui stipule les projecteurs et leurs symboles, la date de réalisation du plan, son échelle, le nom du spectacle,
  • la cotation du plan (notamment l’écartement des projecteurs pour faciliter le montage),
  • une coupe est réalisée dans la même échelle que le plan. Elle comporte les projecteurs sur porteuses, pieds ou platines9, les pendrillons et frises et toute partie du décor jugée utile pour l’implantation lumière.

L’« œil » du spectateur au premier rang est indiqué aussi, il permettra d’effectuer les calculs afin d’éviter que certaines parties techniques soient visibles de l’auditoire ainsi que les hauteurs des porteuses lumière.
Un rapporteur et un cutch sont indispensables pour travailler un plan « à la main », mais des logiciels de dessin sont le plus souvent utilisés. Ils sont bien pensés et permettent l’adaptation rapide et facile des plans de tournée. Leur utilisation doit correspondre aux besoins, le logiciel « Autocad » semble le plus adapté pour les grands lieux (une formation est conseillée). Il existe bien d’autres logiciels Claris Draw, Autosketch, Stardarw, Mini cad, etc.

Exemple de plan lumière :

1543853417166-896.png

La sérénité du montage et des réglages lumière dépend de la clarté des indications portées sur le plan : numéros de circuit, référence de filtres et couplages. Le matériel doit être en très bon état, les conditions et les problèmes techniques peuvent rapidement devenir une source d’angoisse lors d’un montage.
Il n’est laissé à voir au spectateur que ce que l’on souhaite. Pour cela, les draperies (frises et pendrillons) délimitent la zone de « jeu », la zone accessible au regard du spectateur. L’implantation de la draperie et des projecteurs vont de pair, l’une jouant avec l’autre.
Attention aussi au bruit des projecteurs automatisés qui peuvent être un handicap surtout pour des spectacles intimistes ou en théâtre.

2.4. Vocabulaire et termes techniques (lexique)

Puissance électrique :
La puissance électrique (que l'on note P) a pour unité le watt (symbole W). Elle est le produit de la tension électrique présente aux bornes auxquelles est branché l'appareil (en volts) et de l'intensité du courant électrique qui le traverse (en ampères).

Gradateur :
Ce sont des blocs de puissance qui transmettent le courant vers les projecteurs. Ils sont commandés (de plus en plus électroniquement) par le jeu d’orgues. Les gradateurs sont alimentés en 220/380 V (triphasé) et intègrent plusieurs sorties permettant de graduer des circuits indépendamment.

Jeu d'orgues :
Le jeu d’orgues est à la lumière ce que la console de mixage est au son. On distingue les jeux d’orgues manuels et les jeux d’orgues à mémoires :

  • Le jeu d’orgues manuel à plusieurs préparations permet de créer des états lumineux tout au long du spectacle.
  • Le jeu d’orgues à mémoires est un ordinateur à l’ergonomie adaptée permettant de créer des états lumineux en amont du spectacle et de les restituer à l’identique pendant les représentations. Les jeux d’orgues à mémoires contrôlent également d’autres appareils comme les changeurs de couleurs, les volets HMI ou les projecteurs automatisés.

Liaisons filaires jeu d'orgues / gradateurs :
Un câble de liaison (Type DMX) assurant le pilotage d’un système lumière permet de transmettre les informations du jeu d’orgues vers les gradateurs et, le cas échéant, vers les changeurs de couleurs10 et les projecteurs asservis (automatiques)11.

Patch manuel :
Le projecteur ou groupe de projecteurs est branché sur un gradateur. Le choix du numéro de gradateur est laissé à l’appréciation du régisseur.

Patch électronique :
Il permet d’assigner directement un ou plusieurs gradateurs à un circuit. On branche tous les projecteurs aux gradateurs sans forcément tenir compte d’un ordre précis. Le patch électronique permet de remettre tous ces numéros dans un ordre choisi par le régisseur.

Projecteur :
Le projecteur est un dispositif d'éclairage avec une optique qui centralise la lumière sur une zone déterminée. Il est utilisé pour produire de la lumière sur les scènes de spectacle, les plateaux de télévision et de tournage des films. Ils sont très variés, les plus courants au théâtre sont les projecteurs de 500 W à 2000 W halogènes.

Lampe :
Deux grands principes de fonctionnement : l’incandescence (un filament de tungstène spiralé ou doublement spiralé, chauffé par effet Joules) et la luminescence ou lampes à décharge (des gaz rares sont soumis à une décharge sous haute tension entre deux électrodes).

Filtre :
Les filtres sont utilisés pour corriger la lumière, la dépolir, arrêter certaines couleurs de spectres de lumière ou la réfléchir.

Changeurs de couleurs :
Grâce aux changeurs de couleurs, les projecteurs deviennent des outils plus performants et offrent de multiples possibilités de changement d’ambiance. Un changeur de couleurs est en général équipé d’une dizaine de couleurs sur deux rouleaux rotatifs de part et d’autre de la lentille. Une entrée DMX permet de piloter, du jeu d’orgues, le défilement des rouleaux.

  1. ^ Nicola Sabbattini est un architecte et scénographe du 17e, auteur d'un des premiers traités de scénographie : « Pratica di fabricar scene e macchine ne' teatri ». Ses travaux ont influencé ses contemporains et ses successeurs, comme Gaspare Vigarani qui travailla avec Molière.
  2. ^ Type DMX 5 points.
  3. ^ Régisseur lumière au Théâtre National de Strasbourg.
  4. ^ Dans le monde du spectacle vivant, la conduite lumière est la liste chronologique des « effets » à mettre en œuvre par le régisseur lumières à la suite de la création effectuée par l'éclairagiste. Cette « conduite lumière » consigne les effets détaillés par acte, scène, lieu, position des appareils, intensité lumineuse, temps d'utilisation, apparition, disparition, etc.
  5. ^ Outil de mesure gradué avec une grande précision, utilisé pour lire immédiatement les distances sur une carte ou un plan.
  6. ^ Dans le domaine du spectacle, ce sont les structures métalliques fixées aux plafonds des scènes ou les constituant, qui permettent de fixer les projecteurs ou autres accessoires scéniques devant être placés en hauteur. Dans le domaine du théâtre plus particulièrement, le terme désigne un plancher à claire-voie qui forme le sommet de la cage de scène et constitue une partie des cintres.
  7. ^ Le rideau de fer sépare la scène et la salle. C'est avant tout un dispositif de protection contre les incendies.
  8. ^ Machiniste responsable du fonctionnement des cintres.
  9. ^ Les projecteurs peuvent être placés au sol ou sur la scène, sur des trépieds appelés pieds de projos ou des plaques de métal relativement lourdes (lests).
  10. ^ Cet appareil se fixe sur plusieurs types de projecteurs pour placer des filtres et changer la couleur du faisceau. Ils contiennent un rouleau de gélatines commandé par DMX 512, généralement appelé « scroller » (« dérouleur » en français).
  11. ^ Sont appelés projecteurs asservis l'ensemble des appareils d'éclairage fixes ou motorisés dont les différentes fonctions peuvent être pilotées à distance par un système de commande.
Tags :
    
© 2023 CNFPT